(Palinurus elephas) Un met délicieux, mais cher !
Dernière mise à jour le mardi 24 novembre 2020
Article paru sur le site "Actualités de la mer"
23/11/2020
La Langouste rouge ce crustacé très réputé gastronomiquement parlant, a bien failli disparaitre des côtes françaises Bretagne et Corse principalement, voire un peu de la Vendée Ile de Noirmoutier, et de l’Ile d’Yeux.
qui en produisaient pourtant plus 800 tonnes dans les années 50, Puis seulement 300 tonnes (1997). selon Jean-Claude Quéro, Jean-Jacques Vayne, (dans les fruits de la mer et plantes marines des pêches françaises)
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Heureusement les professionnels de la mer, les chercheurs de l’Ifremer
en leur temps, (2005) ont décidé de limiter les prises, de mettre plusieurs zones en réserves, d’augmenter les tailles des prises, de remettre à l’eau les femelles grainées, de changer les méthodes de pêche.
Et d’instituer des fermetures saisonnières.
Depuis, les gisements sont contrôlés tous les ans, et les prises limitées par les pêcheurs eux-mêmes, afin de garantir la pérennité de la ressource.
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Océanopolis Brest (oceanopolis.com) permet de la découvrir sous toutes ses facettes, plusieurs conférences ont eu lieu sur le sujet.
Sa pêche exigeante, le nombre d’amateurs gastronomes,
font de la Langouste rouge un met onéreux, (21/11/2020 Langouste rouge/Bretagne Rungis 90 € HT/kg)